Role Play Leitranien ^^

Comme certains le savent je suis en plein abc blanc, et j'en ai plein le cul, et écrire me vide l'esprit, alors je me vide sur vous dsl ^^ lol

Let's go

G3n3, j'attend tes critiques avec impatience


Gyal entra dans la taverne crasseuse. Il faisait aussi sombre a l'intérieur que dans une cave, on ne distinguait le bar que grace aux chandeliers posé près du barman. A gauche du troisieme chandelier, on devinait une silouhette, massive, imposante. Gyl n'hésita pas et se dirigea directement vers cette dernière. Il s'assit et commanda un ver.

Un impressionant panel de vers était déjà disposé devant son ami.

"_Quand arreteras tu de boire, ivrognes!
_Quand t'arreteras de me faire chier, donc c'est surement pas prêt d'arrivé...
_Très drole avec ça..."

L'homme ne répondit pas. Et vida son ver d'un trait, regardant droit devant lui, comme s'il voyait dans l'obscurité quelque chose d'extremement attrayant... Il reposa bruyamment son ver et héla le barman, qui en apporta un nouveau, remplis a ras bord d'un liquide brunâtre.

Gyal l'attrapa et le but, puis il saisit son amis par le bras et l'entraina dehors. L'homme se laissa docilement conduire, mais bien malin qui peut dire si c'était par ivresse ou non...

Une fois dehors, gyal le poussa violemment, et l'homme tomba, faisant du même coup tombé le capuchon qui recouvraient son visage. Il était beau garçon, les cheveux blond, les yeux d'un bleu très pur. Il se releva difficilement

"_Pourquoi..?
_Tu me dégoutes.
_Qu'st ce que ça peut bien me foutre...
_Tu es l'un des 7 épéistes de Néhru!!
_Ouai, et alors??
_Pff.. Puisque tu refuses de te reprendre, j'achéverais ta vie ici, misérable, tu n'es pas digne d'avoir reçu l'enseignement du maitre."

Un long silence suivit, puis l'homme éclata d'un rire rauque.

_Allons Gyal, même si tu le voulais, tu serais incapable de m'entaillé ne serais-ce que le bras; crétin! Je te tuerais en moin d'une minute!

Gyal déguaina son épée, longue , au pommeau bleuté, finissant sur une magnifique opale, et s'avança
_Eh bien nuos verrons, Kalek.

L'ivrogne, Kalak se redressa et deguaina son épée longue, au pommeau verdatre finissant par un rubis. LEs deux épées étaient étrangement semblable, si ce n'est la difference de couleurs...

Puis Gyal bondit, férocement et ttaqua, de taille d'estoc, tenant l'épée a deux mains, mettant dans chaque coups toute la force disponible en lui, toute la hargne, toute la rage qu'il pouvait éprouvait, mais Kalek déviait, parait, esquivait avec une facilité déconcertance, presque a la limite de l'amusement. Puis d'un terrible revers, il désarma le jeune Gyal, crocheta sa jambe, entaillant legerement sa cuisse et le faisant trébuché, il posé un genou sur son torse, et pressa lentement sa lame sur la gorge du jeune homme désarmé.

_Hum.. ouai, tu as fait quelque progrès gamin...
_Et toi, ton haleine pu l'hydromel a 100mètres...

Kalek eclata une nouvelle fois de son rire sans joie, puis reprit , plus serieusement

_Que veut tu, qu'es tu venu faire ici? Qui t'envois?
_Lui.. Il veut que tu reprenne le controle de l'armée Tremens.
_et pourquoi ferais je ceci pour Lui?
_Car tu es l'un des sept épéiste de Néhru, et que ton devoir est de servir jusqu'a la mort l'Empereur...
_J'ai été renié il y a bien longtemps par ce même empereur et par toute cet saloperie de système.
_Wezer est parmis nous.

Kalek relacha imediatement sa pression, le jeune homme se releva, le regard mauvais. Kalek, pensif renguaina son épée.

_Pourquoi l'armée Tremens s'est elle remis en marche?
_Tu ne sais donc rien??? Les Barbares ont envahi les territoires du sud.
_Hum...
_Seras tu avec nous, demain?
_Vous?
_Une compagnie Tremens pars d'ici demain et rejoins le corp d'armée a la frontière du Vieux-Monde.


Kalek partit, sans même prendre la peine de répondre a Gyal


Les épéistes de Néhru était les 7 meilleurs épéistes du pays, et ils étaient classé par ordre croissant, du plus faible au meilleurs. Gyal était le 7eme, le plus faible. Kalek lui, n'était que 3eme, et n'avait jamais été vaincu...

Le lendemain, la compagnie Tremens parti, avec a sa tête un nouveau dirigeant.


[HRP/]

Voila mes amis.. j'espère qu'il vous plairas, si oui, une suite est envisageable.. a vous de me dire^^

personne m'as lu :'(

genial c ki les autre ( j'attend la suite avec impassience )

les autres quoi? lol ^^

_Haaaaaaaaaaaaaaaaalte.

L'ordre fut hurlé dans les premières lignes, et tous les hommes s'arrèterent immediatement. La compagnie longeait une forêt depuis maintenant plus de 2heures.

Gyal sorti des rang et fit partir son cheval au galop vers la tête de colonne : Kalek.

_Que se passe t'il?
_Nous allons êtres attaqués.

La surprise se figea sur le visage du jeune homme en une moue ridicule. Kalek ne put s'empecher de rire.

_Qui pourrait nous attaquer ici, en plein milieu du pays, allons soit sérieux!

Puis, se tournant vers les soldats, il hurla l'ordre de repartir.

A peine les soldats se mirent en marche que Kalek envoya l'ordre contraire, et comme si ses paroles ne suffisaient pas, une volée de flèche provenant de la lisière de la forêt s'envola dans un vrombissement terrible.

_Bouclieeeeers!
Les soldats les plus vifs étaient déjà en position de défense avant même que l'ordre ne soit donné.

La discipline de cette armée était telle qu'aucun soldat ne fut touché par les traits mortels.

_Cavaleries, Avec moi.

Kalek parti au galop vers la forêt, ordonnant a Gyal de maintenir l'infanterie ici, sous le couvert des longs bouclier Tremens.

Les fantassins n'entendirent que le lointain échos des bruits de la bataille, puis la cavalerie revint, rapidement, sans visiblement avoir subit aucune pertes.

Kalek revient et lança un corps inanimé au pied du cheval de Gyal.
_Un Delta. Kalek n'ajouta rien, laissant Gyal a sa perplexité.
_C'est impossible, ils sont nous alliés... Ils nous auront confondus avec une quelconque troupes barbares!
_Allons, réflechit, crois tu vraiment que ces hommes, armées et portant l'éffigie tremens puissent être confondus avec de vulguaires barbares portant des peaux de bêtes? Nous sommes trahit, voilà tout.

Les murmures qui s'élevaient des rang d'infanteris cessèrent immediatement, dès que l'ordre de se remettre en marche fut entendu.

La compagnie arriva sans encombres a Olya, ville frontalière, trois jours plus tard. Lorsque la compgnie penetra dans l'enceinte de la grande ville, elle fut accueilli par une masse de badauds venut acclamer ses beaux chevaliers, ses beaux soldats. Très vite, on rapporta a Kalek et Gyal que les compagnies de l'Empereur étaient en marche vers l'ouest ou les barbares effectuaient chaques jours des raids, massacrant et pillants.

La compagnie ne passa pas une nuit en ville et reparti immediatement, malgrès la fatigue grandissantes vers l'ouest, ou après une 10enes d'heures de marches, ils arrivèrent en vue d'une plaine ou une terrible bataille faisait rage. Les compagnies de l'Empereur était prise entre deux fronts, les barbares vétus de peaux de bêtes a l'est, et des soldats armés et parés de bouclier, de hauberts et de côtes de maille. Les compagnis du rois faiblissaient a vu d'oeil, les hommes reculés, acculés par les poussées successives des deux fronts, fatigués, harassés par les heures de combats passé.

Kalek deguaina son épée et la leva droit devant lui. Ses hommes l'imitèrent, et ils chargèrent.


[HRP]

Desolé.. je suis fatigués, je m'arrette la, en esperant ne pas trop vous déçevoir...^^

enorme a kan la suite lol

Leitrane a écrit:

personne m'as lu :'(

Moi.

Alors alors.

Moi, perso, c'est qu'une question de gout hein ? te vexe pas, j'adore.
Bon, c'est un fait.

je trouve que ça change complètement de ton style de d'habitude, et je trouve ça reposant à lire.

j'ai qu'une chose à dire :

T'es DANS LES BAC BLANC !!! SHAIIIIIIIIIIIIIIIIIi !!!!

^^ lol, plus que 3H30 de biologie demain and it's oveeeeeeeeer

Les barbares n'entendirent les galops de chevaux qu'au dernier moment, accaparés par la bataille. Lorsqu'ils se rendirent compte qu'on les prenait a revers, il était trop tard. Les barbares moururent par centaines en l'espace de quelques secondes, tombant, la gorge tranchée, le corps mutilés sous les coups de lames d'une précision mortelle.

En quelques minutes a peines, le front barbare était totalement libéré, permettant au forces de l'Empereur de se reconcentrer sur les hommes en armes dont Kalek ne pouvait encore voir le blason.

Kalek leva a nouveau son épée, et parti vers l'ouest, suivie de sa compagnie, contournant le front pour prendre a revers le dernier ennemi.

Néanmoins, cette fois ils ne profitèrent pas de l'effet de surprise, et les chevaux s'empalèrent dans d'atroce craquements sur les piques planté dans une pseudo-mur de défense. Les chevaliers, désormais au sol, désavantagé par la lourdeur de leur armures avait plus de mal a combattre, et il était clair que les hommes qu'il combattait la était autrement plus doué que les rustres barbares.

Kalek mis pied a terre, evitant a son cheval le triste sort de ses congénaires, puis il déguaina son épée et se lança dans la bataille. Les hommes portait tous sur leur haubert un blason, un cheval vert traverser d'une épée noire. Kalek ne connaissait pas ce blason. Cela faisait donc trois ennemis a combattre.. Les Deltas, les Barbares et ses mystérieux combattant.

Tout en étant perdu dans ces sinistres pensée, Kalek combattait, distribuant la mort a chacun de ses coups d'épées, mais rapidement il se retrouva encerclé et dû réellement se concentrer pour ne pas mourir. Emporté par sa rage, il s'était de lui même trop enfoncé dans les lignes ennemis qui s'étaient simplement refermés dérriere lui, le laissant seul et en mauvaise posture.

Un premier homme chargea, Kalek ecarta sa lame d'un moulinet et l'empala violement, le repoussant d'un coup de pied il frappa directement la gorge non protégée du soldat derrière lui, il coupa la main d'un troisième qui chargeait, épée en avant et il continua ainsi a trancher, tuer, mutiler, jusqu'a ce qu'enfin ces hommes l'eurent rejoins. Certains de ses hommes s'arreterent un moment, bouche bée devant le charnier impressionant autour du guerrier. Les ennemis eux même semblait ne plus vouloir attaquer ce guerrier fous, couvert d'un simple haubert noir enfilé visiblement a la hate par dessus sa cote de maille. Puis les assauts reprirent, comme si ce bref répit n'avait jamais eu lieu. Rapidement les hommes portant le blason inconnu commencèrent a reculé, les deux front, celui menée par Kalek et l'autre mené par les compagnies de L4empereur de rejoinnirent, poussant d'un effort commun, faisant reculé lentement les ennemis.

Soudain, L'attention de Kalek fut attiré par un Tremens, plus grand qu les autres hommes qu'il dominait d'une tête et d'une largeur d'épaule, portant une épée extraordinairement large, qui semblait faire un poid exceptionnel, mais qu'il maniait avec une incroyable habilité. L'épée tendu a bout de bras, le corps fléchit, il attendait les ennemis qui venait mourir d"un bref coup de lame, perçant boucliers, cote de mailles et plastrons.


Lorsqu'il vit Kalek, il le salua d'un bref signe de tête, et tua sans même le regardait un homme qui le chargeait.

Comme le voulait la coutume, que Gyal, maintenant que Kalek y pensait, n'avait pas respecté, L'homme s'approcha de Kalek et dit d'une voix grave et rauque, come on pouvai s'y attendre étant donné son imposante stature

"Je suis Lyom, Fils de krishna. 5eme épéistes de Nérhu. Pour te servir Seigneur Kalek.
_Que la paix soit avec ton épée, Lyom Fils de Krishna."

Puis, oubliant presque la bataille autour d'eux et les salutations cérémonieuse qu'ils venaient d"effectuer, les deux hommes se tombèrent dans les bras.

"_C'est bon de te revoir mon ami!
_M'en parles pas, j'te croyais mort!"

Puis Kalek poussa son ami a terre et , de la pointe de son épée, trancha la gorge d'un assaillant, visant le dos de Lyom. Il lui tendit sa main, que le géant saisi pour se relever.

_Tuons les, nous parlerons plus tard."

Et ils repartirent tout deux dans la bataille, tuant aussi simplement que le vent balaye les fueilles.

A peines une heure plus tard, les mystérieux soldats avaient fuis, ou était tous mort, baignant dans leur sang sur le champ de bataille.


[HRP]

Voilaaaa^^ 3eme volets pour vous mé chérys

merci G3n3, sa me fait plaisir ce que tu dit

oula mais j'adore tu devrait ecrire un livre sur cette histoire
a quand le 4 iem volet ?

Vous savez quoi, ben j'ai la flemme de lire mdr

... ^-^'

ho merde je croyer ki yavé la suite moi

Kalek marchait tranquillement sur le champ de bataille, calme, comme s'il ne venait pas de mettre en déroute des milliers d'hommes avec ses compagnons, il marchait au milieu des corps mutilés, égorgeant a l'occasion quelques survivants ennemis, qui ne parlait qu'un dialecte sec et incompréhensible.

Lyom était la, a une dizaine de mètres, finissant lui aussi les rares soldats qui n'avaient pas été tués.

_Dit Kalek, qu'est ce que tu fous ici? t'étais pas dans un trou en train de te laisser crever?
_On fait tous des erreurs, répondit ce dernier avec un sourire, regarde, ta mère en a bien fait une en te laissant vivre!

Le géant éclata de son rire rauque et guttural, tous en enfonçant une hache massive qu'il venait de ramasser dans le cran d'un homme a terre. Voyant se spectacle, Kalek lui dit , une lueur amusée dans le regard
_Toujours aussi délicat!
_Toujours! Dit il en habattant une nouvel fois sa hache avec un "han!" de bucheron.

plusieurs heures plus tard, alors que les rires et les chant s'élevaient des campements des compagnis de l'Empereur, Kalek et Lyom était seul dans une tente, buvant un verre de vin Lentranien , réfléchissant déjà a ce qu'ils feraient ensuite avec leur compagnies respectives. En effets les compagnies de l'empereur ne dépendaient que de leurs commandant, et ne suivaient qu'eux. La présence d'un si grand nombre de compagnis, était pour ainsi dire, fortuite et imprévue.

Lyom buvait lorsqu'il lacha soudainement son verre, la main déjà posé sur le pommeau de son épée massive. Il avait visiblement jugé que la hache ne lui allait pas bien.

_Chut. Nous sommes surveillés.

Kalek shouta dans le feu, répandant les braise dans la terre, plongeant immédiatement la tente dans l'ombre. Il entendit alors effectivement des pas feutrés. Il déguaina son épée au pommeau bleuté en tenant le fourreau pour ne pas faire crisser l'acier. Lyom l'imita, avec peine étant donné la taille de son énorme épée, puis ils sortirent. Kalek ordonna a Lyom d'allez chercher Gyal, et de le rejoindre a l'orée du bois, d'ou provenaient visiblement les bruits. Lyom parti aussi silencieusement que le lui permettait sa carrure de géant, et Kalek avança a pas feutré vers les futaies. Arrivé a quelques mètre de ces dernières, il entendit un sifflement et l'eclat dorée d'une arme de lancer. Il se jetta a terre, esquivant la lame d'un large poignard. Il se releva rapidement, et déjà son adversaire lui faisait face.

CE n'était pas un soldat, sa tunique, noir, sans aucun apparat ni même un haubert indiquait clairement sa profession.

C'était un assassin, et s'il avait lancé ce poignard, c'est qu'il n'était pas venu pour tuer n'importe quel soldat. Il avait probablement reconnu l'habit du commanda d'une compagnie. Combien étaient t'ils derrière les arbres, attendant que leur compagnon ne mettent a mort ce commandant?

de plus en plus enorme
fait un livre lol jte jure jlachete

L'assassin tira un sabre courbé, et s'approcha vers Kalek lentement, comme un oiseau guettant sa proie.

Dans le peuple Tremens, le simple fait de voir un épéiste de Néhru inspirait la crainte, lui, visiblement ne craignait pas ces épéistes de légendes, ou peu-être, simplement ne connaissait t'il pas leurs existences...

Kalek fit tourné son épée dans sa main, comme pour s'échauffer le poignet et attendit. Son adversaire, voyant que le commandant n'attaquait pas se lança a l'attaque d'un vieux coup de taille vers la cuisse. Kalek bloka immediatement et plongea l'épée adverse vers le sol, il pivota et visa la gorge. Avec une rapidité fulgurante, l'assassin se laissa tombé, évitant la lame et se remit sur pied en roulant sur le coté.

Kalek sourit, et planta son épée dans le sol. Il allait affronter un adversaire a sa taille cette fois. Il enleva son haubert et sa lourde côte de maille, laissant apparaitre au clair de lune son torse musculé, parcouru de longue cicatrices violacées. Le code d'honneur des combattants interdisait l'attaque d'un homme n'ayant pas son épée en main, mais quelle importance peut avoir se code pour de vulgaires assassin? Néanmoins, l'assassin ne bougea pas et laissa son adversaire se dévetir. Une fois son haubert , sa cote de maille et sa chemise lancées a terre, Kalek reprit son épée, et sourit, comme pour remercier son adversaire de ce leger répit. Malheureusement pour l'assassin, l'épéiste, désormais plus libre de ses mouvements gagnait en vitesse et en précision. Il assaillait, de taille, d'estoc, se fendait, roulait, pivoté attaquant inlassablement l'assassin qui parait avec une déxtérité impressionante les attaques de plus en plus violantes du capitaines, puis il tenta une contre-attaque, Kalek passa sou son épée, frappa du pommeau le visage de son assaillant qui eclaboussa de sang le torse de Kalek, puis crocheta sa jambe et le mit a terre. L'assassin tomba lourdement, le nez eclaté, mais se releva toujours avec cette même vitesse impressionante, néanmoins sa prise sur son épée était moin sur, et il s'était mis a trembler.

"Ces assassins sont doués, et nesont pas habitué a être blesser. Il commence a avoir peur"

Kalek se relança a l'assault, frappant encor plus vite, puis il enchaina des mouilets avec son épée, et un coup de pied retourner qui frappa l'autre en plein visage, puis il continua, encor, entaillant sa cuisse, puis son avant bras. Lorsqu'il stopa son fol enchainement, L'assassin tenait encor difficilement debout.

"Le combat est terminé"

Kalek avança, l'assassin tenta une derniere attaque, Kalek bloqua, et frappa son avant bras de sa main libre, l'assassin lacha son épée.

_Tu fut probablement l'un des meilleurs combattants que j'ai tué.

Sur ces mots, la tête de l'assassin roula au sol, et dans la seconde, comme si cette chute avait déclenché un piege, un autre eclat brillant fonça sur Kalek, qui ne put l'eviter totalement et fut touché au bras.


Saignant abondemment, il vit une dizaines de silouhettes sortirent du bosquet.

"S'ils sont aussi bons que l'autre, je vais mourir ce soir."

Puis, alors que les hommes tout de noir vétus co mmenceaient a l'encercler, un hurlement sourd les fits tous se retourner, Lyom arrivait, Gyal sur ses talons.

"Malgrès le talents des épéistes de Néhru, nous ne pourrons pas tous les battres si nous ne sommes que trois..."

Mais alors que Kalek se remettait en garde, près a mourir dans un ultime combat, malgrès le sang qui coulait sur son bras, les assassins s'en furent, repartant aussi subrepticement qu'ils étaient venus, dans la lisière du bois.

Lyom hurlait

_Revenez, bande de chiens galeux! Lâches! Saloperie d'assassins!!!

_Je ne comprends pas.

Lyom et Gyal se tournèrent vers Kalek, l'incompréhension se lisant dans leur regards.

_Ils nous auraient facilement vaincus...
_Que dis tu? Tu es fou! Personne n'est assez bon pour tuer un épéiste de Néhru, alors 3 ensemble...
_J'ai peiné a en tuer un, et je suis meilleur que vous deux réunis. Nous serions déjà mort s'ils n'avaient pas fuis.

Puis, dans le chaos le plus total, un nouvel éclat d'argent fut lancé. Kalek le suivit des yeux et entendit le bruit mat du couteau qui penetre daans les chairs.

Gyal était mort, une lame en travers de la gorge.

oula sa se corce j'adore
a quand la suite

Les compagnies de Kalek et Lyom marchait vers le sud. La compagnie de Gyal, sous le choc de la mort de leur commandant avait, après lui avoir rendu les hommages funéraires, décidé de suivre Kalek et Lyom, se repartissant comme bon leur semblait dans les deux cors d'armée. Kalek et Lyom avaient décidé de longer la frontière jusqu'au camps des Bakyrs, une des principales races des barbares envahissant l'empire qu'ils défendaient. Ils s'étaient dit que s'ils exterminé les Bakyrs, les autres races prendraient peu-être peur et fuiraient loin des frontières, ou du moin, ils l'esperaient.


Le voyage dura plusieurs semaines. Puis un jour, les soldats arrivèrent en vue d'une ville fortifié, une ville que personne n'avait jamais vu. Un jeune soldat, probablement pas agé de plus d'une vingtaine d'années dit qu'il était passé ici 3 mois auparavant, et que cette ville n'existait alors pas.

Kalek ordonna qu'on monte le camp et emmena Lyom a l'écart, afin de disctuer paisiblement.

"_Personne ne peut construire une ville aussi rapidement.. C'est impossible.
Le commandant acquiesça d'un hochement tête.

"JE vais y allez.
_Tu es fou Kalek, habillé comme tu l'es, ils te tirerons a vu, comme un lapin.
_Il y a un éclaireur dans les bois. Derrière le troisieme chêne, a environ 100toises*. Je vais le tuer et rentré au village a sa place. Avec de la chance, ils ne se rendront pas compte...
_Je vais y allez pour toi. coupa le géant.
_Non, les hommes auront besoin de toi ici.
_J'ai plus la carrure d'un barbare que toi.
_N'insistes pas Lyom, j'irais."

Lyom acquiesça, en maugréant dans sa barbe fournit.

Sur ces mots, et après une longue discussion sur ce qu'il conviendrais de faire après son départ, Kalek parti vers la forêt, à cheval. L'éclaireur ne devait savoir que faire. Etait-il reperé? Etait-ce le hasard qui ammenait ce chevalier vers lui? S'il bougeait, il trahirait sa position, S'ilne bougeait pas et qu'il était repéré, il devrais combattre...

Le barbare réfléchissait a toute vitesse, puis avant qu'il n'ai pu se décidé, il mourrait, un large couteau lui tranchant la gorge. Il n'avait même pas vu l'homme se rapprocher de lui. Il avait lancé son cheval vers l'est et s'était approché suffisament pour le tuer. Comment? Quand? Jamais le barbare ne le saurait.

Kalek avait un regret lorsqu'il enfilait les peaux de bêtes du barbare, parfaitement ajustés a sa taille: il ne savait pas quel langue parlait les barbares. Il connaissait bien des dialèctes barbares, mais aurait il la chance de tomber sur ceux qu'il connaissait? Il parlait le dialecte Bakyrs, mais l'éclaireur ne portait aucin signe distinctifs de sa tribu d'origine...


Alors vétu de peau de bêtes; tel un sauvage, Kalek retourna furtivement a la ville fortifié, les portes s'ouvrirent lorsqu'il arriva, et claquèrent lourdement lorsqu'il fut entré. Les compagnies de l'Empereur était campées, hors de vu, prête a l'attaque.

Kalek avança, et fut accueilli par un grand homme blond, vétu de peau de bêtes également, le dominant de deux tête. L'homme regarda les cicatrices sur le torse de Kalek et se fendit d'un large sourir.

"_Qui es tu? demanda le chef Bakyr"

vive le suspence lol

c'est pour quand la suite j'attend moi